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Invisible est une ode pour 10 danseur·euses, un espace de célébration partagé conviant public, performeur et performeuses au jeu, à l’échange et à la connexion dans une forme de complicité joyeuse. Durant 72 heures, le·la spectateur·rice est appelé·e à vivre le continuum du temps et à contribuer à la transformation de la pièce par diverses interventions.
Direction artistique :
Aurélie Pedron
Scénographie :
Kévin Pinvidic
Environnement sonore interactif :
Alexandre Burton
Direction technique :
Samuel Thériault
Soutiens financiers :
Conseil des arts du Canada, Conseil des arts et des lettres du Québec, Conseil des arts de Montréal
Résidences de création :
Maison pour la danse de Québec, Maison de la culture Notre-Dame-de-Grâce, Espace Marie Chouinard, LAVI – Laboratoire Arts Vivants et Interdisciplinarité, Département de danse de l'UQÀM
Diffusion agent:
Art Circulation
Images :
Denis Martin
En collaboration avec les danseur·euses :
Ariane Boulet, Charles Brécard, Rachel Harris, Emmanuel Jouthe, Luce Lainé, Abe Simon Mijnheer, Caroline Namts, Charlie Prince, Silvia Sanchez, Zoë Vos
Conception éclairages :
Chantal Labonté, Hugo Dalphond
Dramaturgie :
Kathy Casey
Coproduction :
Danse-Cité, Montréal Danse, Lilith & Cie
Partenaires :
LAVI – Laboratoire Arts Vivants et Interdisciplinarité, Département de danse de l'UQÀM
Le temps devient maître d'œuvre : le quotidien des danseur·ses s’invite dans l'œuvre et l'œuvre s’invite dans le quotidien des spectateur·rices. Le choix de 72 heures n’est pas anodin, il correspond à 3 rotations de la terre. Une première journée pour le dépouillement de nos habitudes, une deuxième pour une renaissance à soi et à l’autre, et une troisième pour la découverte des possibles.
Loin de l’éloge du marathon et de l’épuisement, nous sommes avec Invisible dans une traversée qui met à profit la force du groupe pour dépasser des limites ou des seuils, qu’ils soient personnels ou collectifs. La notion de communauté qui se crée dans l'accomplissement des rites est également au cœur de l'œuvre.
À l’achat d’un billet, les spectateur·rices peuvent revenir autant de fois qu’ils·elles le souhaitent, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, pour expérimenter la transformation de l’œuvre. Les 9 danseur·ses ne sont pas toujours en action mais en tout temps il y a au minimum un gardien de la spirale, moteur de l'œuvre.
Dans un espace à mi-chemin entre le salon, la brocante et le lieu sacré, le public peut choisir l’endroit d’où il regarde, intervenir, lire les cahiers de notes de danseur·ses, parler au téléphone avec eux·elles (de l’espace de la salle, ou plus tard de chez soi), suivre les propositions du jeu de cartes, faire jouer des musiques ou être simplement témoin...