Nous, les membres de l’équipe de Danse-Cité, reconnaissons que nous sommes sur un territoire autochtone qui n’a jamais été cédé par voie de traité. Montréal, nommé « Tio’tià:ke » en kanien’kéha et « Mooniyang » en anishinaabemowin, est un lieu historique de rassemblement des Premières Nations parmi lesquelles les Kanien’kehá:kas, les Wendats, les Abénaquis et les Anishinaabeg, et ce, bien avant l’arrivée des premiers colons européens.
Nous souhaitons exprimer notre profond respect pour la contribution des peuples autochtones à la culture des sociétés ici et partout autour du monde.
Notre mission est de contribuer à l’évolution des pratiques de la danse et de la création contemporaine en soutenant les artistes en recherche, création, production et/ou diffusion.
Danse-Cité accompagne les artistes dans le développement et le déploiement de leur démarche artistique, de la naissance de l’idée à la présentation devant public ;
Danse-Cité soutient l'émergence de nouvelles écritures, de la diversité des pratiques et des parcours, l’approfondissement des démarches artistiques tout autant que la rencontre et l'intégration d'autres champs disciplinaires ;
Danse-Cité s'investit dans un travail structurel autocritique et durable pour devenir un organisme qui comprend le pouvoir et respecte la dignité et l'autodétermination des humain·es, des artistes et des travailleur·es culturel·les avec lesquel·les elle entre en contact, peu importe l'origine, l'ethnie, le sexe, les capacités physiques, la taille, la religion et l'âge ;
Danse-Cité développe actuellement des activités favorisant l’accessibilité universelle aux arts.
Le respect : du travail et de toute personne avec laquelle Danse-Cité est en relation, quel que soit son parcours, son orientation sexuelle, son expression de genre, ou son origine ethnoculturelle. Respect comme fondement de toute collaboration.
L'adaptabilité et l'inclusion : aux besoins du milieu artistique et des publics, à la diversité des processus artistiques et aux enjeux sociaux tels que, mais non exclusivement, le racisme, le capacitisme, l'homophobie, la transphobie, le sexisme et la grossophobie.
La coopération : comme force d’action.
L'équité : envers toute personne qui œuvre au sein de l'organisme ou en collaboration avec celui-ci pour l'accès aux ressources, aux occasions, au pouvoir et aux responsabilités afin de tendre vers un environnement de vie et de travail harmonieux pour tou·te·s.
Le courage : de ses convictions. Le courage de prendre des risques, de faire des erreurs et d'en tirer des leçons.